
Sur le fond et sur la forme, les 18-24 ans s’éloignent de l’assurance santé
Selon le baromètre annuel de la Fédération Nationale Indépendante des Mutuelle (FNIM), la proportion des étudiants couverts par une complémentaire santé est en constante diminution : ils étaient 85% en 2017, ils ne sont que 64% en 2019. Seuls 70% des 18-24 ans interrogés déclarent être couverts, alors que 98% des 55-64 ans le sont…
En cause ? Un arbitrage budgétaire face au prix (47% des personnes interrogées trouvent d’ailleurs le prix des complémentaires santé excessif, +8 points en un an !) mais aussi et surtout face au bénéfice perçu : 21% des 18-24 ans déclarent qu’ils peuvent se passer d’une complémentaire santé.
Alors calcul mesuré, méconnaissance du système de santé ou réticence à affronter un secteur obscur et compliqué ? Une partie de la réponse se trouve dans une étude du cabinet Square, où l’on s’intéresse à un autre pan de la vie des 18-24 ans : celui de la gestion de leurs finances.
Ici aussi l’éloignement avec les banques traditionnelles est palpable, mais résolu par le recours au numérique : plus connectés, plus mobiles, les répondants de 18 à 24 ans sont 55% à être familiers avec les agrégateurs bancaires et les nouveaux services financiers – contre 28% des 50-64 ans. Ils sont 35% à ne s’être jamais rendus sur l’espace web de leur banque.
Les utilisateurs d’applications fintech sont 67% à être mono-bancarisés : ils privilégient l’application de la FinTech par rapport à celle de leur banque pour une meilleure ergonomie.
mySofie clarifie un secteur et des coûts trop souvent invisibles, à travers une interface simple et accessible. L’occasion avec les codes du numérique de remettre le doigt sur l’importance de la couverture santé sans s’y perdre : synthèse budgétaire & services mobiles aident à tout moment à garder le contrôle. De quoi concilier la forme – et le fond.