Chez mySofie, « onboarder » nos utilisateurs implique d’attaquer de front la défiance de mise quand on aborde le sujet des données. Comment et pourquoi choisissent-ils de nourrir l’agrégation de leurs contrats santé ? Une étude renforce les directions que nous suivons.
La donnée que je contrôle
76% des répondants souhaitent pouvoir révoquer les permissions à tout moment. Signe de l’éducation croissante au sujet, le détail des utilisations arrive en 2e position. Un point explicité chez mySofie, où l’usage de chaque service fait l’objet d’un consentement distinct, et où chaque utilisateur peut à tout moment repartir avec ses informations.
La donnée qui rend service
61% des répondants estiment qu’ils ne profitent en aucune façon de la donnée qui est collectée sur eux – alors qu’elle est justement un formidable levier d’empowerment. Comment le prouver ? Notre réponse est d’apporter un bénéfice concret et immédiat. 3 sur 4 repèrent dans mySofie un soin non pris en charge et récupèrent, pour 1/3 d’entre eux, plus de 50€. Quelle meilleure introduction ?
La donnée qui soigne
La donnée est sous-utilisée selon plus d’1/3 des répondants pour aider à gérer le coût de sa santé ou à mieux se soigner. 2 points qu’adresse le coach mySofie, chargé de détecter les signaux forts ou faibles d’un utilisateur pour l’aider, au bon moment, à être mieux couvert et à garder ses proches en bonne santé.
Cette éducation à la donnée n’est plus une option. C’est même un enjeu de santé : les populations les plus réfractaires sont aussi celles qui en ont le plus besoin. Seuls 15% des plus précaires et 10% des plus de 55 ans se sentent à l’aise sur le sujet…
Photo de William Iven sur Unsplash
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