Nous vous parlions au début du mois de la construction du « coach santé » de mySofie. En France 5% de la population représente 51% des dépenses. Et tout ce qui fonctionne à peu près aujourd’hui s’est concentré sur ces 5%.

Mais arrive le moment où les autres 95% reviennent au centre de l’attention. Où le soin ne se concentre plus que sur les malades, mais aussi sur les bien portants. Plus seulement sur la réparation, mais sur l’accompagnement au quotidien. « Il faut aujourd’hui changer de dogme et redonner au soin sa définition pleine et entière. »

Or seuls 29% des Français se souviennent avoir été exposés à une communication de prévention de la part de leur complémentaire santé. Pourtant la pandémie a rendu cette écoute active. En réponse à ces stimulations, ils sont 26% à avoir fait un examen ou demandé un diagnostic (x9 en un an !), 14% à avoir incité leur entourage à modifier leur comportement (x4).

Il y a deux ans, ING a créé une équipe dédiée aux sciences comportementales. L’enjeu : aider les utilisateurs à surmonter leurs biais de décision. Avec en premier lieu les plus courants : les limites de notre capacité d’attention, nos difficultés à prendre en compte les conséquences d’une action, et la tendance à privilégier le court terme au détriment du long.

En acceptant de faire entrer mySofie dans leur vie, nos utilisateurs débloquent des options et des décisions grâce à des mécaniques variées et accessibles au plus près de leurs besoins.

 

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