La relation privilégiée au médecin de famille semble avoir vécu : nous vous parlions la semaine dernière d’une étude montrant que 73% des millenials américains (23-38 ans) préfèrent poser leurs questions à Google plutôt qu’à leur docteur.

Abreuvé d’information, nous manquons aussi de référents : une autre étude relève que 26% des adultes déclarent ne pas avoir de « médecin de famille ». La moitié des personnes dans ce cas a moins de 30 ans…`

Derrière cette tendance, la recherche, surtout pour les jeunes générations, de vitesse et de praticité. Plus question d’attendre des jours pour un rendez-vous ou des heures pour une réponse. Les offres de services ou d’information en self-service se multiplient. Mais comment s’y retrouver ? Le poids de la responsabilité et des choix repose de plus en plus sur le patient – et le patient seul.

Les assureurs santé pourraient être très bien placés pour prendre ce rôle de guide et d’interlocuteurs privilégiés – à condition de satisfaire les nouvelles exigences de consommation santé. Un parcours de soin fluide et accessible. De la clarté à chaque étape. Un usage millimétré des données pour être présent aux côtés du patient quand il en a le plus besoin (34% veulent que leur assureur les accompagne en cas de problème de santé grave).

Être capable d’établir une relation fréquente, transparente et personnalisée : 3 caractéristiques fondamentales de l’interface de lecture des prestations clé en main que propose mySofie.

“Vers la fin du « médecin de famille » ?”

 

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